Parmi les zones d’ombres du Web 2.0, le référencement suscite beaucoup d’interrogations.

Le Journal du Net se demande si le Web 2.0 et le référencement font bon ménage. De par l’architecture utilisée, le référencement classique du Web 2.0 est délicat. En effet les moteurs de recherche qui jusqu’à présent devaient indexer de simples pages HTML, ont affaire aujourd’hui à de vrais interfaces graphiques interactives.

Avant le Web 2.0, le contenu et la présentation étaient confondus[1]. Or ces nouveaux sites web proposent une interface riche qui va elle-même interroger un service web distant pour obtenir le contenu.

Donc au-delà un problème technique pour les référenceurs de reproduire les actions des utilisateurs[2] pour indexer un site Web 2.0, ils doivent changer leur perception de l’indexation puisqu’ils n’ont plus accès directement à un contenu.

Parmi les bonnes pratiques du Web 2.0, la diffusion de l’information via RSS est un élément clé. L’utilisation des flux RSS est une piste intéressante pour le référencement du contenu. En effet, avec le RSS les moteurs de recherche ont accès directement au contenu et seulement au contenu[3]. Reste à voir, vers où les moteurs de recherche redirigeront l’utilisateur lorsque le résultat d’une recherche pointera sur un flux RSS ou équivalent.

Même si le problème du référencement tend à se résoudre, il ne faudra pas oublier le problème de l’accessibilité de les services Web 2.0 !

Notes

[1] D’un point de vue référencement. Car d’un point de vue technique, il existe depuis longtemps des techniques telles que le MVC, les feuilles de style CSS, …

[2] En ajoutant le support du JavaScript entre autre.

[3] Dans un format standardisé.

SeBDéveloppementréférencement,web 2.0Parmi les zones d'ombres du Web 2.0, le référencement suscite beaucoup d'interrogations. Le Journal du Net se demande si le Web 2.0 et le référencement font bon ménage. De par l'architecture utilisée, le référencement classique du Web 2.0 est délicat. En effet les moteurs de recherche qui jusqu'à présent devaient...Un blog, c'est un blog !